Je suis un étudiant

Saviez-vous? Un cinquième des étudiants postsecondaires au Canada éprouvent la dépression et l’anxiété, ou ils subissent d’autres troubles mentaux, selon un sondage national de collèges et d’universités. Ce sondage a également révélé que de plus en plus d’étudiants font rapport de détresse qu’il y a trois ans.

Santé Canada a affirmé que la majorité des problèmes de santé mentale commencent à apparaître pendant l’adolescence et au début de l’âge adulte, coïncidant avec le début des études postsecondaires au Canada. La transition vers le collège ou l’université peut être un événement stressant, et si l’on éprouve déjà des troubles mentaux, il s’agit d’une situation plus pénible. Non seulement les préoccupations de santé mentale peuvent-elles avoir un impact négatif sur son bien-être, mais elles peuvent aussi nuire considérablement à son éducation. En fait, on a découvert que la dépression a été un indicateur important d’une faible MPC et d’une probabilité élevée de décrochage scolaire. Cependant, on peut prendre des mesures pour renforcer son système d’appui.

LES FAITS

Une enquête importante de 25 164 étudiants universitaires ontariens par l’American CollegeHealth Association a indiqué qu’entre 2013 et 2016, on a observé une croissance de l’anxiété de 50 %, une hausse de dépression de 47 % et une augmentation des abus de substances de 86 %. On a également constaté un nombre accru de tentatives de suicide, en hausse de 47 % pendant cette période.

Un sondage administré par The Star/Ryerson de 15 universités et collèges canadiens a déterminé que tous ces établissements sauf un ont augmenté leurs budgets de santé mentale au cours des cinq dernières années, soit de 35 % en moyenne.

Let’s Talk About Mental Health

Mental Health: In Our Own Words

McGill en parle – Santé mentale

Indications courantes de troubles mentaux ou de maladie mentale

Les troubles de santé mentale ont en commun 10 signes d’avertissement que l’on doit prendre au sérieux. Si vous éprouvez ou si vous connaissez quelqu’un qui éprouve au moins une de ces indications, vous devriez parler avec un membre fiable de votre famille, un collègue ou un mentor pour chercher de l’aide.

  1. Sentiments profonds de tristesse ou d’abandon durant plus de deux semaines
  2. Comportements incontrôlables sévères impliquant un risque
  3. Peur soudaine écrasante inexplicable
  4. Vomissements, utilisation de laxatifs ou refus de manger pour perdre du poids
  5. Voir, entendre ou croire des choses imaginaires
  6. Consommation fréquente et excessive de drogues ou d’alcool
  7. Changements drastiques d’humeur, de comportement, de personnalité ou d’habitudes de sommeil
  8. Difficultés extrêmes à se concentrer ou rester tranquille
  9. Inquiétudes ou peurs intenses empêchant d’accomplir des tâches quotidiennes
  10. Efforts ou intention de faire du mal à soi-même

Il peut s’avérer difficile d’identifier si vous éprouvez une indication précoce d’une condition émergente de santé mentale ou si vous vous adaptez à la vie collégiale.

Il n’est pas important de savoir la réponse à cette question. Faites attention à votre esprit et à votre corps. Si vous ne sentez pas bien et si le malaise persiste, parlez avec quelqu’un qui peut vous aider à vous en occuper et à choisir le type de soutien ou de soins dont vous avez besoin.

La section « Services de soutien à votre établissement d’enseignement » plus loin dans cette page est un bon point de départ pour entamer la conversation.

You are not alone: Student stories of mental health

Certaines situations peuvent être déclencheuses et influencer votre santé mentale. Quelques personnes peuvent considérer de telles situations comme un événement normal, tandis que d’autres peuvent être accablées par la tension mentale en découlant. Soyez conscient de ces facteurs de stress et songez à leur impact sur votre santé mentale.

  • Ruptures amoureuses
  • Pressions scolaires
  • Mauvaises notes
  • Stress financier
  • Pressions relatives au statut social
  • Sentiments de solitude ou de nostalgie
  • Sentiments de marginalisation, d’être mal compris ou à l’écart
  • Préoccupations relatives aux membres de votre famille à la maison
  • Absence de soutien quotidien de votre famille ou communauté
  • Utilisation de drogues ou d’alcool
  • Sommeil inadéquat
  • Sentiments d’être accablé
  • Chagrin
  • Incertitude d’identité sexuelle
  • Problèmes d’amitiés
  • Pertes sportives
  • Attentes non satisfaites

Ruptures amoureuses

Break Up and College Depression: Crystal’s Mental Health Story

Une page Web peut-elle vraiment me donner des conseils pour gérer mes relations amoureuses? La vérité, c’est que l’on ne peut que vous orienter et vous offrir des renseignements en appui des meilleures décisions que vous devez prendre. Alors, avant d’ignorer ce dont nous avons à vous faire part, examiner franchement vos relations actuelles ou antérieures, et demandez-vous si elles étaient saines ou non :

Relations amoureuses saines contre malsaines 1

Qu’est-ce qui fait une relation saine? Qu’est-ce qui fait une relation malsaine?
  • Respect
  • Honnêteté
  • Communication
  • Acceptation
  • Prise de décisions équivoque
  • Soutien
  • Objectifs, croyances et valeurs en commun
  • Pressions pour que l’on change
  • Méfiance
  • Peur
  • Absence d’appui
  • Restrictions
  • Critiques
  • Colère et jalousie

Si vous croyez que votre relation amoureuse est malsaine et qu’il faut la rompre, cherchez sur Internet comment terminer une relation. Vous pouvez également consulter les services aux étudiants à votre école et demander des conseils pour rompre une relation amoureuse en douceur si vous croyez que la situation nuit à votre travail scolastique.

Fourteen Ways to Break Up Better

Comment quitter l’autre en douceur

Notre société met l’accent sur trouver « la » bonne personne : L’âme sœur avec laquelle on va passer le reste de nos jours. Mais qu’arrive-t-il quand une relation se termine? Nous connaissons tous la douleur et le chagrin qui accompagnent une rupture amoureuse. La majorité d’entre nous n’y sommes pas préparés – il peut s’agir d’une première fois, parfois on ne sait pas comment y faire face. Heureusement, on peut développer des aptitudes pour nous aider à mieux nous sentir. Comme il est décrit dans un article de PsychCentral, « Nos pensées dictent ce que l’on ressent envers une rupture, comment on y fait face, ainsi que tout autre évènement qui se produit dans nos vies. Les pensées et croyances irrationnelles qui nous rendent désespéré ou déprimé peuvent être remplacées par d’autres qui sont plus rationnelles. Cela rend la fin de la relation beaucoup plus supportable. »

The 7 Stages of a Breakup and 7 Ways University Students Can Cope

Comment déterminer quelles pensées sont irrationnelles et par quelles pensées plus rationnelles peut-on les remplacer? Bonne question! Prenez connaissance des trois exemples ci-dessous, puis cliquez sur le lien pour en découvrir davantage.

Pensée irrationnelle : Pensée rationnelle :
« Je ne peux pas vivre sans cette personne. J’ai besoin d’elle ou de lui dans ma vie. » « Je peux vivre sans cette personne. Il existe définitivement des choses dont j’ai besoin pour vivre comme l’air, de la nourriture et de l’eau. Je n’ai pas besoin de cette personne pour survivre. Bien entendu, il ou elle va me manquer, mais ma vie ne se terminera pas s’ils en sont absents. Je n’en ai pas besoin. »
« Ma vie ne signifie rien sans mon conjoint ou ma conjointe. » « Ma relation amoureuse ne représente qu’une facette de ma vie. Il y a plusieurs autres façons de donner un sens à ma vie. Mon travail, ma famille, mes amis et (votre choix) donnent un sens à ma vie »
« Je ne suis plus moi-même sans mon conjoint ou ma conjointe. » « J’ai toujours été moi-même. Rien ne peut changer cela, tout comme je ne peux pas changer les autres. J’ai peut-être perdu de vue mes propres intérêts, mais je peux maintenant m’y remettre. »
Découvrez d’autres pensées irrationnelles ici (en anglais).

Préparez-vous à affronter la rupture et prenez les démarches pour être mentalement sain avant, pendant et après la séparation.

La nostalgie

Missing Home? Here’s How to Stop Feeling Homesick FOR REAL

La nostalgie est perçue comme étant la perte de soutien et de structure qu’offre souvent la famille; les étudiants se sentent vulnérables maintenant qu’ils vivent seuls et s’ennuient de l’époque où ils n’avaient pas autant de responsabilités, plus d’encadrement et davantage de soutien. La nostalgie n’est pas une maladie définie, on ne peut donc pas en identifier les symptômes.

Cela étant dit, on peut observer de plus près les étudiants qui se sentent tristes, déprimés, isolés ou esseulés. Ce n’est pas tout le monde qui se sent capable de rencontrer de nouvelles personnes et de se faire des nouveaux amis; cela peut être encore plus difficile pour les étudiants qui se sentent déracinés. En outre, même les étudiants qui s’entourent d’amitiés peuvent se sentir nostalgiques si ces dernières laissent certains besoins insatisfaits ou un vide dans leur vie que seule la famille peut combler. D’autres symptômes peuvent comprendre pleurer, sécher ses cours, se sentir meurtri ou en colère. 2

Stress financier

Selon Statistique Canada, environ la moitié des étudiants post-secondaires canadiens doivent de l’argent pour des prêts gouvernementaux ou non-gouvernementaux, à la remise de leur diplôme. Oh, là là! L’étudiant au collégial moyen doit 14 900 $, tandis qu’à l’université cette somme se chiffre à 26 000 $, pour un baccalauréat ou une maîtrise. Si vous vous trouvez dans cette situation, êtes-vous prêt à rembourser le tout? Avez-vous élaboré un plan, ou allez-vous ignorez la situation jusqu’à la fin de vos études (et puis paniquer)?

The mental health impact of rising debt: ‘A lot of students suffer silently’

Les efforts requis des cours, les droits de scolarité et le besoin d’emprunter de l’argent pour l’université et de rembourser ces prêts sont tous des facteurs qui font rapidement boule de neige et causent un stress économique.

Faire un budget de ses dépenses constitue une excellente première étape pour maîtriser sa situation financière. Cela permet de faire le suivi de l’argent qui entre et qui sort de son porte-monnaie. Si vous n’êtes pas satisfait de vos habitudes d’achats, faites des petits changements là où c’est possible. Il existe plusieurs facteurs qui contribuent au stress économique. Vous, ou un parent, avez peut-être perdu votre emploi, ou vous ressentez que vos amis ont plus d’argent que vous. Cela arrive fréquemment sur les campus, où il est facile de présumer que toutes les familles d’étudiants ont les moyens.

Faites ce petit test pour savoir quel est votre niveau de compréhension financière (au milieu de la page web , en anglais). Pendant que vous y êtes, jeter un coup d’œil sur ces autres liens pour vous aider à établir un budget.

Consommation de drogues et d’alcool

Un sondage de grande envergure comprenant les réponses de 43 780 étudiants, provenant de 41 campus canadiens, confirment qu’il existe une consommation d’alcool excessive parmi les étudiants. 3 Vous vous demandez peut-être qui gaspillerait de l’argent sur une telle étude, car tout le monde est courant de ça, n’est-ce pas? Mais les temps changent, ainsi que les attitudes envers la consommation excessive d’alcool. Nous sommes mieux informés sur les risques et l’impact que cela a sur nous, que du temps de nos parents. Toutefois, cela se produit encore fréquemment de nos jours :

On aurait pu me compter parmi ceux et celles qui ont coché « oui » à plusieurs cases si j’avais rempli le sondage pendant que je fréquentais l’école. Je n’ai pas toujours fait les meilleurs choix. Il n’y a aucun jugement ici, juste des mots avisés pour que vous soyez plus en sécurité que je ne l’étais et que vous ayez une meilleure santé mentale.

En réalité, l’alcool est considéré comme étant la substance la plus répandue et dangereuse sur les campus. Bien que les drogues puissent causer plus de dommages plus rapidement, l’alcool peut causer autant de dommages aussi vite, mais cela ne se présente pas nécessairement de la même manière. Pour plusieurs, boire fait partie de l’expérience universitaire; à une soirée chez des amis ou une soûlerie en forêt, des évènements sportifs, et n’importe où, quoi. Puisque boire de l’alcool est répandu et acceptable, beaucoup d’étudiants finissent par consommer plus d’alcool, plus fréquemment que leurs pairs qui ne vont pas au cégep ou à l’université.

Prenez un moment et demandez-vous à quelle fréquence vous buvez, et en quelle quantité. Une fois que vous exercerez une profession, pourrez-vous soutenir ce rythme tout en excellant au travail et en élevant une famille?

N’oublions pas qu’il ne s’agit pas que de l’alcool car les étudiants postsecondaires forment le plus grand groupe de consommateurs de drogues au pays. Il est avisé de prendre conscience de votre usage de drogues et d’alcool car le Canada a récemment légalisé la consommation de cannabis. Il faut s’informer sur le sujet, et voir comment on peut améliorer son mode de vie.

Le National Institute on Alcohol Abuse and Alcoholism définit la consommation excessive d’alcool épisodique comme étant une habitude de boire qui élève la concentration de l’alcoolémie à 0,08 grammes pourcent ou plus. Cela arrive typiquement quand des hommes consomment 5 verres ou plus ou que les femmes en consomment quatre ou plus en environ deux heures. La majorité des gens qui consomment de l’alcool de cette façon ne sont pas alcooliques.
https://www.cdc.gov/alcohol/fact-sheets/binge-drinking.htm

Réseaux sociaux

C’est sans doute bizarre pour vous d’imaginer la vie d’un jeune adulte il y a 15 ou 20 années sans avoir accès aux réseaux sociaux au bout des doigts à tout moment, jour et nuit. Dans une certaine mesure, ma génération n’est pas différente, car pendant mon adolescence, les téléphones cellulaires et les pagers ont fait leurs débuts, nous exposant aux réseaux sociaux et changeant notre façon de communiquer. Nous avons fait partie de la « génération en transition »; la première à passer aux ordinateurs à l’école, à commencer d’utiliser les appareils électroniques et à accéder à Internet (par modem téléphonique, processus lent et bruyant)… et toutes les merveilles que cela comportait! Franchement, ma génération et la précédente ont des difficultés à comprendre l’importance que votre génération accorde aux réseaux sociaux, mais nous essayons d’apprendre. Il s’agit d’un nouveau concept dans notre monde, donc il faut encore de temps pour s’y familiariser! Ce qui est évident, c’est que la majorité des choses, en modération, sont bonnes; mais en excès, elles sont probablement néfastes. Les recherches commencent à aborder ce sujet : les effets des réseaux sociaux sur la santé mentale. Lorsqu’il s’agit de votre santé mentale, il est essentiel de comprendre comment les réseaux sociaux vous touchent. Surveillez votre santé mentale au fil du temps et réfléchissez d’un œil critique sur votre comportement envers les réseaux sociaux (bon et mauvais).

Comment gérer cela pendant l’école

Fréquenter le collège ou l’université est un événement important et une période de vie stimulante. On devient plus indépendant, rencontre de nouvelles personnes et on vit des expériences inoubliables. Il s’agit d’une transition significative, ce qui peut être à la fois positive et éprouvante. Donc, pour partir du bon pied, familiarisez-vous avec les ressources offertes par cette Trousse de santé mentale!

En vous branchant avec d’autres personnes, et en participant à des activités universitaires et communautaires, vous êtes en mesure de protéger votre santé mentale. Informez-vous sur les occasions offertes par votre centre de services aux étudiants sur le campus et impliquez-vous dans au moins une de ces activités :

Services de soutien à votre établissement d’enseignement

Pour gérer des problèmes de santé mentale, il faut trouver des solutions individualisées, constantes et personnelles. Pour y parvenir, une relation entre deux personnes et l’accès à plus de ressources sont nécessaires. Il arrive que les services associés soient évités par les étudiants qui ne croient pas avoir besoin de soutien à cet égard, ou qui veulent simplement échapper aux préjugés liés aux services de consultation en santé mentale.

Gardez à l’esprit les points suivants avant ou au début de votre séjour au campus. Parmi ceux-ci, combien de réponses connaissez-vous? Parmi ceux-ci, combien de réponses connaissez-vous?

Tout le monde devrait comprendre comment accéder aux soins de santé mentale sur les campus, peu importe si ces services sont requis ou non. Pour vous aider à répondre aux questions ci-dessus, ou pour chercher quelqu’un à consulter, vous trouverez le lien à votre établissement d’enseignement dans la liste suivante pour que vous puissiez obtenir dès aujourd’hui les services de soutien nécessaires.

Absence autorisée

Parfois, la vie peut devenir écrasante. Être aux études et s’occuper de soi peut sembler accablant. Si vous songez à prendre une pause scolaire pour récupérer, vérifions l’état des choses pour un moment. Il est important de savoir quelles options s’offrent à vous pour rétablir votre santé mentale.

Prendre une pause des études postsecondaires

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6 Warning Signs You Need to Take a Break from College

Qu’est-ce qu’une absence autorisée?

Une absence autorisée est une période où un étudiant ou une étudiante n’est pas inscrit à des cours, mais compte retourner aux études dans le futur. Peut-être n’êtes-vous pas certain d’y retourner et c’est tout à fait acceptable; mais ne fermez pas la porte à moins d’en être 100 % convaincu. Prendre un congé vous permet de retourner à l’université sans repasser par le processus d’admission.

Les programmes d’études tiennent compte du fait que la vie étudiante peut s’avérer compliquée et on a établi des politiques et procédures qui permettent aux étudiants de prendre une pause. Ces derniers décident de prendre un congé pour des raisons variées, comme pour des urgences familiales et des conditions médicales ou reliées à la santé mentale. Ces pauses peuvent durer quelques semaines ou quelques années.

Chaque établissement a ses propres politiques et procédures pour les absences autorisées reliées à la santé mentale; cela dépend des circonstances. Il est possible que votre institution utilise un nom différent comme absence pour maladie, congé d’urgence et, dans certains cas,absence motivée ou justifiée.

Vous devriez évaluer, de façon réaliste, combien de temps vous comptez être absent. Consultez un conseiller d’orientation, votre famille et vos amis. Les programmes d’études établissent des périodes limites quant aux absences, vous devrez donc savoir quelle est la limite maximale à laquelle vous avez droit.

Leave of Absence From College, Explanation and Benefits

Sometimes, I Wish I Had Taken a Year Off

Que dois-je considérer avant de prendre une décision?

Pour vous aider à démarrer…
1. Consultez parents et amis 2. Consultez auprès de votre programme d’études. 3. Discutez et priorisez vos options. 4. Formalisez votre plan. C’est acceptable de changer de plan en cours de route. 5. Concentrez-vous sur votre rétablissement. Votre santé mentale est votre priorité.

Mental HealthAmerica donne de bons conseils (en anglais). Vous pourriez songer à une absence autorisée si :

Toutefois, il n’est pas toujours nécessaire de quitter même si c’est ce que vous ressentez. Les programmes d’études offrent de l’aide aux étudiants; demandez et voyez ce que vous pouvez obtenir. Il y a des conseillers d’orientation, des médecins et des spécialistes de la santé mentale sur le campus en tout temps pour une raison.

Voici quelques articles pour vous aider à bien réfléchir à votre absence autorisée et pourquoi vous devriez essayer de rester sur le campus, autant que possible :